Si Max Verstappen est encore loin d’être à nouveau champion du monde, la route vers son second titre s’est un peu plus ouverte ce dimanche, au Castellet, après les nouveaux déboires vécus par Ferrari. Pour le reste, difficile de croire que Liberty Media ait été convaincu par le scénario de la course pour renouveler le contrat avec le circuit Paul-Ricard. Dommage pour Alpine qui avait le sourire à domicile, au contraire de Pierre Gasly.
Par Fabien Gelinat
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Les notes du Grand Prix de France
Max Verstappen
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Plus les Grand Prix passent, et plus le Néerlandais semble conduire comme un vétéran de 34 ans. Ne soyez pas surpris de le voir célébrer son 11e titre de champion du monde en 2035.
Lewis Hamilton
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Une deuxième place pour son 300e GP que le Britannique embrasse avec grand plaisir. En attendant – enfin – une victoire avant la fin de saison ?
George Russell
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Le petit George a eu le droit aux remontrances de Tonton Wolff en pleine course. Avec effet immédiat : un premier double podium cette saison pour Mercedes. Les Flèches d’argent sont de retour.
Sergio Pérez
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Comme sa place à l’arrivée. Battu à la régulière par une Mercedes ainsi qu’une Ferrari partie P19 et enfumé comme un bleu par Russell. Sale gueule de bois.
Carlos Sainz Jr.
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Heureusement que Carlos était là pour nous envoyer du spectacle durant la course. Big bisous.
Fernando Alonso
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Trop fort pour les autres, mais trop loin des plus forts. Geraint Thomas.
Lando Norris
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Il voulait rendre les fans français heureux. En passant sa course derrière l’Alpine d’Alonso, il a parfaitement tenu parole.
Esteban Ocon
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Un peu comme le caïd qui aime malmener le petit faible de l’école, le Français a passé sa course à martyriser Ricciardo. Un homme qui sait offrir du spectacle à son public.
Daniel Ricciardo
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Avec tous les coups de vent qu’Ocon lui a envoyé dans la tronche, il n’a pas eu trop de mal à combattre la chaleur ce dimanche.
Lance Stroll
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Son comportement à la Räikkönen à la radio lui a-t-il fait pousser des ailes ? Le Canadien peut en tout cas souffler : un point et une course finie devant son coéquipier.
Sebastian Vettel
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Vainqueur de la plus belle image du week-end, au volant de la Green Pea, l’originale Aston Martin de 1922, pour fêter les 100 ans de l’écurie en course.
Pierre Gasly
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Les week-ends se suivent et se ressemblent pour Pierre. Malheureusement.
Alexander Albon
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Une nouvelle Williams pour une nouvelle vie ? Pas encore.
Valtteri Bottas
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Frédéric Vasseur est peut-être un pro du pistolet à eau dans le paddock, mais c’est bien son écurie qui a pris l’eau dans la chaleur du Var ce week-end.
Mick Schumacher
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L’état du grâce du fils prodigue s’est donc terminé sur un virage coupé d’un peu trop près en qualifications, puis sur un taquet glissé par Zhou en course. Dur retour à la réalité.
Guanyu Zhou
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Une lente agonie jusqu’à la panne à quelques tours de l’arrivée.
Nicholas Latifi
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Un petit spin et puis s’en va.
Kevin Magnussen
Note de la rédaction
Tour de France
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Sa pénalité l’envoyant en fond de grille au départ ne présageait pas d’une grande course. Et son départ de fou furieux ne fut pas récompensé non plus. En même temps, les Danois ont déjà conquis la France à vélo cet été.
Yuki Tsunoda
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Difficile de rouler avec des aérations latérales artisanales.
Charles Leclerc
Note de la rédaction
En fusion
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Il faisait 33 degrés au Castellet et certainement 945 de plus dans le casque du Monégasque lorsque l’arrière-train de sa voiture a décroché et l’a envoyé dans le mur.
Par Fabien Gelinat
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